La ville est prise d’assaut par ces amateurs de bondage équin.
Les calèchesàtouristes imposent au pauvre piéton la priorité que leur octroi l’imposante stature de leur attelage dans les ruelles étroites. Non content d’harnacher de pauvre bestioles qui préféreraient être au prés à gambader, ils se déplacent en bande en hurlant de commentaires sur la ville dans un charabia linguistique digne de babylone. Le tout dans le vacarme des sabots sur les pavés, bonjours le calme de ce soit disant moyen de transport non polluant.