Le vrai problème qui s'impose est de trouver les bonnes fréquences, les incisions du monde, du temps, les ratages, les croisements comme ceux d'une foule qui s'entrechoque. Les silences et les partages. Tout va se résumer à cette confusion grandeur nature. Tout va se jouer en quelques taches. Comme une profusion de tout ce que l'on ressent parfois au coeur d'une foule, d'une solitude, comme d'une certitude.
La belle histoire de cette toile, à laquelle je pense depuis de longues semaines, est qu'elle se récite dans l'atelier avec la visite des amis durant sa croissance. Ils passent cette semaine Rue Moreau, concourant sans le savoir à la réussite du récit. J'ai l'impérieuse obligation d'avoir terminé ...Verdict samedi. Je vous raconterai.